Le Salon d’Automne, Paris dévoile sa 122ème édition : Focus sur 20 œuvres qui explorent la richesse de l’art contemporain
Salon international d’art contemporain depuis 1903
122ème édition du 29 octobre au 2 novembre 2025
Pavillons éphémères, Place de la Concorde, Paris
Paris, juillet 2025 – Pour sa 122ᵉ édition, Le Salon d’Automne vous donne rendez-vous du 29 octobre au 2 novembre, place de la Concorde, à quelques encablures du Petit Palais où il est né en 1903. 1 000 artistes, issus de 48 nationalités et répartis en 19 sections, exposeront leurs œuvres sur deux pavillons couvrant près de 4 000 m². Pendant 5 jours, 30 000 visiteurs y sont attendus pour célébrer la diversité de l’art contemporain. Focus ici sur quatre sections emblématiques – Dessin, Photographie, Art Naïf et Art Environnemental – et une sélection de 20 œuvres, témoins de l’effervescence créative de ce rendez-vous majeur de l’art contemporain.
Section Dessin : un art du regard et de la main
Crédits : MARGRITT – Mini futuramas – 120 x 160 x cm – DE MICHELIS Yannis – Cheminement – 91 x 81 cm – Je Suis – Chemin de vie – 80 x 80 x cm – NEHLICH Jean-Louis – Farid – 140 x 100 x cm – TESCAR Nina – Le rêveur – 125 x 90 x cm
Cette année, la section Dessin affirme son identité. La maîtrise technique constitue la valeur première de la sélection, mettant en lumière la pureté du coup de crayon et le symbolisme puissant de la forme. Cette démarche privilégie la force expressive de l’écriture, révélant ainsi la richesse d’un art où chaque ligne tracée raconte une histoire.
La nouvelle ligne artistique reflète notre volonté de revenir à l’essence même du dessin, quand le trait, la forme et le geste suffisent à exprimer toute la force d’une œuvre. Crayon, fusain, stylo, pastel, encre de Chine… Chaque technique révélera toute sa richesse, par des textures subtiles ou des contrastes plus marqués : du noir et blanc radical à la couleur nuancée, du tracé libre et instinctif aux compositions élaborées, de l’expression réaliste au langage abstrait, cette édition accueillera des artistes qui, en repoussant les limites du dessin, réaffirment sa place fondamentale dans la création contemporaine. La section Dessin du Salon d’Automne 2025 célèbre cette discipline dans ce qu’elle a de plus essentiel : un art du regard et de la main où le modelé et les contours sculptent la pensée et l’émotion. Car “le dessin n’est pas la forme, il est la manière de voir la forme. » – Edgar Degas. D’après un texte de Véronique Almarine et Antoine Aizier, Responsables de la section Dessin.
Nous vous présentons ici cinq œuvres. De gauche à droite :
MARGRITT – Mini futuramas – 120 x 160 x cm – crayon, encre, encre de chine
Dans ses œuvres, l’encre s’accumule, s’agglutine, se répand comme une matière vivante. À travers des paysages mentaux denses et mouvants, Margritt fait dialoguer la rudesse du trait instinctif avec la rigueur millimétrée de la construction. Entre organique et technologique, ses séries déploient un souffle tactile, presque charnel, où le chaos devient structure et la tension, harmonie.
DE MICHELIS Yannis – Cheminement – 91 x 81 cm – crayon, Dorure
Il marche hors des sentiers battus, cherchant à donner forme à l’indicible. Né entre marionnettes et pinceaux, il crée des œuvres poétiques mêlant dessin, gravure et ors précieux. Son art, nourri de danse et de légendes, explore l’intime, le mythe et la symbiose des êtres.
JE SUIS – Chemin de vie – 80 x 80 x cm – crayon, encre, technique mixte
Explorateur de l’invisible, il façonne l’ineffable par le dessin, la sculpture, la musique ou l’écriture. Éternel apprenti, il crée pour honorer ce qui relie, au-delà des formes : la matière, la conscience, le vivant. Son art est une traversée intérieure, une offrande à ce qui nous unit.
NEHLICH Jean-Louis – Farid – 140 x 100 x cm – encre de chine, fusain
Par ses portraits au fusain, il fissure les certitudes et ouvre d’autres regards. Chaque toile devient une métamorphose silencieuse, où ce n’est pas seulement le dessin qui change… mais aussi celui qui le contemple.
TESCAR Nina – Le rêveur – 125 x 90 x cm – encre de chine, technique mixte
Spécialisée dans l’illustration, elle a développé un goût pour la finesse du trait et la perfection du dessin, nourrie dès l’enfance par sa passion pour les contes et la littérature. Son travail à l’encre de Chine révèle une liberté et une intensité marquées par son expérience du post-soviétisme. Depuis son arrivée en France, elle enrichit ses oeuvres de techniques mixtes et y ajoute subtilement un peu de couleur, tout en restant fidèle au noir et blanc.
Section Photographie : le reflet poétique de notre temps
Crédits : BASTIDE Alain-Gilles – Mer de nébuleuses – 37 x 55 x cm – KANG WOLTER Seon – In-Between 5-7-1, Everything exists within me. – 156 x 106 cm – REY Idalie – A l’Ombre des Feuilles – Série La Bretagne en Estampes – 60 x 40 cm – JIANG Jingwen – The Silent Witness On Dreams, Mortality, and the Sacred in the Age of AI – 60 x 48 cm – SZNAJDER Rose – MAREE BASSE – 120 x 80 x cm
De même que le Salon d’Automne s’impose comme promoteur de la pluridisciplinarité des arts, la section photo offre une multiplicité d’approches artistiques : 62 artistes y présentent des œuvres récentes. La grande diversité des tendances artistiques et des médiums (numérique, argentique, techniques anciennes, photomontage, techniques mixtes) en fait sa richesse. Couleur ou noir et blanc, paysage ou portrait, instantanée ou composée, fixe ou en mouvement, graphique ou plastique, toutes les propositions ont leur place sur les cimaises de la section. La photographie, dans ses multiples représentations, permet réalisme, abstraction, surréalisme, onirisme…, et s’affirme ainsi en perpétuel mouvement, toujours témoin poétique de son temps. D’après un texte d’Anne ROULANT, Responsable de la section Photographie.
Nous vous présentons ici cinq œuvres. De gauche à droite :
BASTIDE Alain-Gilles – Mer de nébuleuses – 37 x 55 x cm – photographie numérique sur dibond
Des espaces, des formes, des volumes, comme éclairés de l’intérieur : un voyage fantastique, surréaliste, au cœur d’un univers à notre portée, révélé par le regard de l’artiste. Les photographies de Mer de Nébuleuses s’inscrivent dans une tradition qui vise à creuser dans notre espace journalier des voies pour révéler des mondes encore inconnus.
KANG WOLTER Seon – In-Between 5-7-1, Everything exists within me. 156 x 106 cm – photographie numérique bois, dibond, papier photo
Le travail de l’artiste explore la dualité de la lumière et de l’obscurité, symbolisant les forces opposées de la vie. La lumière représente l’espoir et le renouveau, tandis que l’obscurité symbolise la transformation et la croissance. Ces éléments sont interconnectés, l’obscurité nourrissant la croissance et la lumière la manifestant.
REY Idalie – A l’Ombre des Feuilles Série La Bretagne en Estampes – 60 x 40 cm – photographie numérique dibond
Paysages Déphasés interroge notre rapport au souvenir : que reste-t-il d’un souvenir à travers le temps ? Ce que nous voyons est-ce une reconstruction fragmentaire, influencée par notre propre perception, nos émotions, nos oublis ? Chaque image est une tentative de fixer l’évanescent, un instant figé qui pourtant semble vibrer d’une présence incertaine, oscillant entre le tangible et l’imaginaire.
JIANG Jingwen – The Silent Witness On Dreams, Mortality, and the Sacred in the Age of AI – 60 x 48 cm – photographie argentique
Une très jeune artiste (moins de 25 ans) qui propose, avec le témoin silencieux, une représentation de l’histoire d’une femme, de ses souffrances, de ses rêves, de sa mort. Comme une cartographie entre rêve et réalité, qui brouille les frontières entre le réel et la religion, la mortalité et l’image.
SZNAJDER Rose – Marée basse – 120 x 80 x cm – photographie numérique sur dibond
Après le déclic de l’appareil, la capture de l’objet, le travail photographique, un lieu improbable apparaît. Entre figuration et abstraction, l’image s’impose, déroulant l’urgence de simplification des formes et des couleurs. Présence presque invisible, la Marée basse existe, par le scintillement de l’océan, les traces du sable ardent, la grâce d’un instant.
La section Art Naïf : un art indiscipliné et fédérateur
Crédits : BARONE Carina – Le premier matin du monde – 105 x 85 x cm – LANGELLIER Judith – Les nymphes – 70 x 60 x cm – SIROT Sophie – Le martin-pêcheur de l’Etang Neuf – 46 x 61 x cm – LOQUEN Claudine – Sur le port de Fécamp, la Belle Poule – 70 x 90 x cm – CLOUET Martine – Le moulin de Rosmadec – Pont Aven – 65 x 92 x cm
L’art naïf, art des primitifs modernes, art d’autodidactes, art rural, folk art, art indiscipliné, selon l’appellation que l’on veut lui donner, à ses admirateurs parce qu’il met bien souvent en lumière l’aspect social de notre société. L’art naïf se trouve dans les villages, les grandes villes, parmi des individualités de plus en plus nombreuses, sensibles, révoltées mais également engagées et porteuses de messages. Il n’est pas seulement une tradition d’art populaire et s’il concerne les ouvriers, les paysans, les employés, il prend tout aussi bien naissance chez les cadres, les notables qui ont leur mot à dire dans ce monde en pleine mutation. Cet art indiscipliné est un fédérateur qui abolit les frontières communautaires.
Quel que soit le groupe social auquel ils appartiennent, les artistes qui vont représenter l’art naïf tout au long de ce salon d’Automne 2025, qu’ils soient en campagne, en usine ou en ville, ont en commun un monde de rêve et de liberté. D’après un texte de Claudine LOQUEN, Responsable de la section Art Naïf.
Nous vous présentons ici cinq œuvres. De gauche à droite :
BARONE Carina – Le premier matin du monde – 105 x 85 x cm – huile sur toile
Depuis presque trente ans, Carina BARONE a choisi la peinture primitive moderne, dite naïve, pour mettre en formes et en couleurs son extraordinaire vitalité, et nous donner à voir le monde comme neuf, originel, palpitant, animé d’une foi joyeuse et colorée en l’humanité.
LANGELLIER Judith – Les nymphes – 70 x 60 x cm – acrylique sur toile
Ce que cette artiste aime dans la peinture naïve, c’est la possibilité de raconter une histoire. Elle aime les scènes champêtres, les chevaux, les grands banquets, les pique-niques à la plage, les barbecues aux couleurs de l’été, mais aussi des scènes de rues …Elle nous entraîne dans un monde chaleureux. On saute, dans un monde idéal, loin des regards de haine, et des combats de sang, un monde sans conflit, rassurant, où la générosité règne, où l’on partage des choses, un monde qui peut paraître un peu désuet, mais dès qu’on y rentre, on ne veut plus y sortir.
SIROT Sophie – Le martin-pêcheur de l’Etang Neuf – 46 x 61 x cm – huile sur toile
Les tableaux de Sophie SIROT associent avec bonheur, d’un trait juste et ferme, la description minutieuse des lieux à des personnages d’une apparente légèreté qui semblent traverser le temps. C’est en ce sens que son travail marie l’imaginaire et le réel. C’est peu dire que l’artiste peint non pas la réalité qui l’entoure, mais un monde qu’elle a décidé une fois pour toutes d’être celui de la poésie.
LOQUEN Claudine – Sur le port de Fécamp, la Belle Poule – 70 x 90 x cm – technique mixte sur bois
Il y a de la douceur dans l’œuvre de Claudine LOQUEN. Des visages ronds et souriants dans un style résolument naïf ; des personnages qui semblent tout droit sortis de contes pour enfants ; un chatoiement de couleurs et de motifs ; des lignes claires qui affirment un goût pour l’harmonie du disegno, ses peintures et dessins semblent être autant de récits fantasmagoriques d’une humanité radieuse.
CLOUET Martine – Le moulin de Rosmadec – Pont Aven – 65 x 92 x cm – huile sur toile –
Les toiles de Martine CLOUET racontent sa vision du monde : famille, enfants, danseurs bretons et chanteurs de Noël se côtoient dans un optimisme résolument déterminé mais néanmoins lucide. Une réflexion sur la manière de contempler le réel.
Section Art Environnemental : regarder, ce n’est pas seulement voir
Crédits : MARHIESTER – Carte des îlots et la rivière blanche – 240 x 235 x 5 cm – COROZEL CHERKI Mioara – Sakura – Jouissance printanière – 300 x 130 x 130 cm – JEAN DROUART Patricia – Multichrome 55 – 200 x 81 x 4 cm – VESOVIC Yarmila – E – 140 x 170 x cm – DUFOUR Jack agitateur de couleurs – Mur de glace – 195 x 184 cm –
La section Art Environnemental réunit 70 artistes, autant d’individualités créatives, chacune avec ses techniques et sa vision singulière, tout en œuvrant dans une direction commune : ouvrir des portes vers l’inconnu , inviter le spectateur à explorer de nouveaux territoires, à la fois visuels et émotionnels.
Cette quête de l’inexploré se manifeste par l’usage de nouveaux médiums ,technologies innovantes, performances, arts numériques, photos,et bien d’autres, dans une démarche qui s’apparente à celle d’un laboratoire d’idées où l’on expérimente,où l’on teste des hypothèses sans nécessairement attendre de réponses immédiates..
Les artistes contemporains se posent en chercheurs , en explorateurs de l’inconnu , traçant des chemins encore vierges. L’artiste dans ce processus, cherche à éveiller des interrogations, à provoquer une confrontation d’idées, d’émotions et d’expériences variées , dans un monde en constante mutation.
D’après un texte de Jack DUFOUR, Responsable de la section Art Environnemental.
Nous vous présentons ici cinq œuvres. De gauche à droite :
MARHIESTER – Carte des îlots et la rivière blanche – 240 x 235 x 5 cm – Acrylique, techniques mixtes
L’œuvre de Marhiester, nous révèle avec poésie la fragilité de notre environnement. L’artiste plisse la toile pour évoquer les érosions topographiques, créant un relief saisissant qui interpelle le regard. La matière, les couleurs et l’engagement écologique sont au coeur de cette œuvre profondément sensible. Ma curiosité est fondée envers le travail de Marhiester, nos démarches sont parallèles, voire convergentes, moi avec les structures des mégalithes comme organisation spatiale et rituelle du néolithique et Marhiester en donnant voix aux reliefs et aux traces du passage humain. Nous avons peut-être une lecture commune sur la topographie. Chargée d’espoir, elle nous rappelle notre responsabilité envers la terre.
COROZEL CHERKI Mioara – Sakura – Jouissance printanière – 300 x 130 x 130 cm – textile – catalogue
Grande voyageuse, Miora COROZEL CHERKI glane, collecte, assemble. A chaque détour du globe, elle ramène broderie, céramique, fragments de mémoire et gestes artisanaux. Dans la section Art Environnemental, son œuvre apparaît comme une cartographie sensible des cultures rencontrées, un tissage patient du savoir-faire et de l’humanité. Chaque pièce raconte une escale, un échange, un instant suspendu. A travers ce travail mondialisé et profondément enraciné,elle nous rappelle que l’art est aussi un acte de lien. Nous avons la chance de découvrir ses œuvres entre deux voyages, comme une halte poétique sur les chemins du monde.
JEAN DROUART Patricia – Multichrome 55 – 200 x 81 x 4 cm – Peinture acrylique et papier
Un simple petit papier coloré; voilà le point de départ du travail de Patricia JEAN DROUART. Le geste semble simple, anodin, presque enfantin, mais très vite, le papier se métamorphose. Il devient volume, capte la lumière,change de couleur, vibre. Sous nos yeux, la surface plane, se fait sculpture légère. La plus grande difficulté en art est souvent la simplicité,et Patricia Jean Drouart en est une véritable magicienne. Ses œuvres monumentales ,délicates et puissantes révèlent la face cachée de l’invisible. Depuis plusieurs années, elle nous enchante dans cette section par une démarche en constante évolution. Son travail en perpétuelle transformation, semble destinée à ne jamais s’arrêter. Un parcours lumineux à suivre de près.
VESOVIC Yarmila – E – 140 x 170 x cm – huile sur bois
Les métamorphoses de Yarmila VESOVIC nous entraînent dans un monde d’Outremer où le regard se perd avec délice. Ses œuvres, dominées par un bleu profond, sont traversées de fils dorés qui dessinent un espace à la fois structuré et onirique. Il ne s’agit pas de comprendre, mais de ressentir. L’œil se laisse porter, fasciné par l’harmonie des textures, la densité chromatique, la subtilité des compositions. Son œuvre enveloppe, attire et laisse entrevoir une forme de beauté absolue,presque spirituelle. Découvrir son atelier suspendu au 15ème étage,avec une vue sur Paris à 360°est un privilège rare, un écrin à la hauteur de son univers.
DUFOUR Jack agitateur de couleurs – Mur de glace – 195 x 184 cm – peinture sur toiles et châssis
En 2023, Jack DUFOUR présente au salon 49 regards une performance intitulée Mur de glace, prolongement du premier élément de sa recherche artistique. Cette installation mettait en scène un bassin miroir noir de 200x200x25cm , jouant un double rôle : d’une part, il servait de bassin de rétention pour recueillir l’eau issue de la fonte des glaces ; d’autre part, sa surface réfléchissante captait l’image de la glace en train de disparaître , créant ainsi un dialogue visuel entre l’éphémère et l’immuable. Au sommet du mur de glace, une rigole creusée recevait un pigment bleu outremer. A mesure que la glace fondait, ce bleu s’infiltrait dans les interstices des blocs,rappelant la teinte profonde des icebergs et évoquant la disparition progressive de la banquise. Cette œuvre se voulait un regard sensible sur l’environnement, sa beauté fragile et les bouleversements qu’il traverse. En 2025, le Salon d’Automne vous propose de redécouvrir ce Mur de glace, revisité sous un format de 195x184cm. Cette nouvelle exploration s’inscrit dans la continuité d’une recherche menée sur cinq ans, visant à éveiller les émotions et à inviter chacun à percevoir le monde autrement. A travers cette mise en lumière de la complexité du réel, le regard d’artiste de Jack DUFOUR cherche à interroger notre relation à l’éphémère et à la mémoire des éléments. Émouvoir et inciter à voir notre monde d’une manière nouvelle et différente.
Un événement pour réunir la grande famille de l’art contemporain
Le Salon d’Automne est incontestablement le promoteur de tous les arts, sans distinction de hiérarchie. Depuis 1903, il renouvelle sa noble mission de donner aux artistes une tribune de choix en réunissant chaque année ce que la création actuelle a de plus dynamique et prometteur. La création régulière de nouveaux groupes et sections prouve par ailleurs son implication dans la représentation de toutes les créations artistiques, sans frontières et sans à priori. Aujourd’hui, on ne dénombre pas moins de 11 sections artistiques : peinture, sculpture, architecture, gravure, dessin, photographie, art environnemental, art digital, livres d’artistes, mondes inconnus et mythes & singularité. Avec une section peinture composée de 9 groupes : Abstraction, Art naïf, Chromatics, Expression libre, Figuration, Héritage et Innovation, Imaginaires, Synthèse, Variations.

Les photos des œuvres de ce communiqué ainsi que les affiches du Salon d’Automne (format portrait et paysage) sont téléchargeables ici
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Le Salon d’Automne est organisé par la Société du Salon d’Automne, une association d’artistes, sans but lucratif, née en 1903, reconnue d’utilité publique depuis 1920, et dont le but est l’encouragement et le développement des beaux-arts dans toutes ses manifestations et particulièrement par des expositions tant en France qu’à l’étranger.
Et parce que de belles images valent souvent mieux que de longs discours, retour, en images, sur la dernière édition du Salon d’Automne : Vidéo octobre 2024
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Infos pratiques
Le Salon d’Automne
Salon international d’art contemporain depuis 1903 – 122ème édition
Du mercredi 29 octobre au dimanche 2 novembre 2025
Place de la Concorde, Paris
Contacts presse
Clara Moreno – clara@morenoconseil.com
Léa Gonçalves – lea@morenoconseil.com